FESTIVAL INTERNATIONAL DU BASSIN DU CONGO

FESTIBAC

OUBANGUI-SANGHA

1ère Edition 2021 Kinshasa-Brazzaville

Du 24 au 31 juillet 2021

Environnement, Culture, Tourisme, Gestion transfrontalière, Navigation intérieure,  Entente-Cohésion-Développement

Le Guide DU FESTIBAC ce guide est destiné aux partenaires, sponsors et mécènes

Sous le haut patronage de leurs Excellences, Monsieur Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République Démocratique du Congo et son homologue Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la République du Congo, il se tient du 24 au 31 juillet 2021 à Kinshasa et à Brazzaville, la 1ère Edition du Festival International du Bassin du Congo, « FESTIBAC » sous la devise : « Entente, Cohésion et Développement ».

La couverture du haut patronage conjoint attribuée à ces deux chefs d’Etats, tient dans leur ferme engagement dans la sauvegarde de la biodiversité et dans la lutte contre le changement climatique dans la sous-région, avec l’accompagnement d’autres Etats membres de droit du Bassin du Congo. 

A Kinshasa, le festival se déroulera sur :

  • Le site du monument de l’Echangeur de Limete

(Musée d’Arts Contemporains et MultiMedia)

  • Le site du Jardin Botanique de Kinshasa
  • Le site du Centre Saint Pierre Claver de Kinshasa
  • Le site de Kinkole, commune urbano-rurale et touristique de Kinshasa

A Brazzaville, le festival aura lieu :

  • Au Salon International de la Culture, des Arts et du Tourisme, « SICAR’T » Pour la présentation du futur Musée d’Arts PAMOJA

DUREE DU FESTIVAL

Les festivités vont s’étendre sur 8 jours soit, du 24 au 31 juillet 2021.

Porteurs du projet

Deux personnalités, experts et militants écologistes de la RD Congo, sont porteurs du projet et d’organisation de cette 1ère Edition du Festival International du Bassin du Congo, « FESTIBAC ». Nous citons : ALESHOU IKPA-LESSAMA Alain, auteur et KANDA ELOMBE Eva, co-auteur.

Monsieur ALESHOU IKPA-LESSAMA Alain, est le Secrétaire Général de l’Ong RD Congolaise « UNIVERSAL AGENCY Asbl ». Initiateur et porteur du projet « FESTIBAC », l’homme est un Correcteur de Presse de formation, Promoteur culturel, Expert et Chercheur. Actuellement il est le Coordonnateur Principal du « FESTIBAC ».

Tél : (+243) 81 5356719 ; (+243) 894175069.

 

Monsieur KANDA ELOMBE Eva, est le Président de l’Ong RD Congolaise « UNIVERSAL AGENCY Asbl ». Co-auteur et porteur du projet « FESTIBAC », l’homme est un Economiste de formation, Opérateur culturel, Expert, Chercheur consultant et Ecrivain. Actuellement il est le Commissaire Général du « FESTIBAC ». Son organisation « UNIVERSAL AGENCY Asbl », reconnue en Rdc sous le numéro F.92/32.215, est une institution de formation, de consultance et de partenariat pour le développement. Elle a son siège social au :

Local 64, Rez-de-chaussée « Immeuble Botour »

Commune de la Gombe

Ville de Kinshasa

République Démocratique du Congo

Téléphones : (+243) (0) 89 50 844 01 / (+243) 81 53 567 19

E-mail : kanda.elombe@gmail.com

Monsieur Christian TCHICOU, est le fondateur et directeur de « PAMOJA », une Ong de renommée internationale de droit Congolais (République du Congo). Il est Promoteur culturel, Expert et Chercheur. Militant écologiste. Actuellement il assume la fonction de Commissaire Général Adjoint du « FESTIBAC », en charge des Relations Extérieures.

Elle a son siège social au :

N° 255-256

Avenue des 1er Jeux Africains

Ville de Brazzaville

République du Congo

Téléphone : 00240 05 603 06 88

E-mail :christian.tchicou@pamoja.space

Pourquoi un festival dédié au Bassin du Congo ?

Nul n’ignore que le grand et majestueux fleuve Congo ainsi que ses deux importants affluents à savoir : l’Oubangui et le Sangha sont sans nul doute à l’origine du grand bassin qui a donné naissance non seulement à la grande cuvette centrale de la sous-région, mais aussi à l’existence de la deuxième réserve forestière mondiale, autrement dit, le 2ème poumon de l’humanité après les forêts de l’Amazonie au Brésil.

Le fleuve Congo constitue l’épine dorsale du Bassin du Congo qu’il parcourt de l’Est à l’Ouest, avant de se jeter sur l’Océan Atlantique. Il est un lieu de perpétuelles pérégrinations. De par son essence à l’instar du fleuve Nil que les Egyptiens antiques considéraient comme un vrai don de Dieu, ce grand et long cours d’eau que nos ancêtres appelaient affectueusement « NZADI », (grand cours d’eau), joue un rôle primordial dans les échanges socio-économiques et culturels dans la sous-région d’Afrique Centrale. Par ce fait, il est facteur de l’unité, de paix et de l’intégration régionale. Ainsi par sa position géostratégique, le Bassin du Congo constitue un moteur important dans les échanges commerciaux entre les Etats, aussi bien pour les déplacements de leurs populations. Ce bassin regorge par ailleurs une riche biodiversité et un potentiel hydrologique avéré. Il s’étend sur près de 3.684.000 Km2. En outre, il constitue une réserve de carbone d’importance mondiale pour la régulation du gaz à effet de serre et de dioxyde de carbone. Il est l’un des remparts contre le réchauffement climatique et revêt une importance écologique cruciale pour la planète bleue toute entière.   

 

               

C’est ici le lieu de rendre hommage aux dirigeants de la sous-région pour avoir mis sur pied des institutions d’intérêt régional, notamment, la « Commission Internationale Congo-Oubangui-Sangha » (CICOS) en sigle, et la « Commission Internationale des Forêts d’Afrique Centrale », (COMIFAC) en sigle, deux instruments indispensables respectivement, pour la gestion transfrontalière des eaux du Bassin du Congo-Oubangui-Sangha et pour la conservation et la gestion durable des forêts d’Afrique Centrale.

Encore faut-il le relever aujourd’hui, la pandémie de Coronavirus qui a frappé de plein fouet l’humanité toute entière et sa gestion qui s’en est suivie, doit interpeller plus d’un africain dans la gestion transfrontalière. Cette crise exige pourtant beaucoup d’efforts, des mesures efficaces d’encadrement, des solutions durables, alternatives et concertées, surtout le renouvellement du type comportemental aux nouvelles attitudes plus responsables vis-à-vis de l’écosystème dans notre bassin, qui rappelons-le, s’impose comme un facteur de paix, de cohésion, d’intégration et régulateur des liens entre ses diverses populations qui aspirent à un développement durable.

Fort de ces arguments géostratégiques, le Festival International du Bassin du Congo se veut être un grand carrefour des peuples d’Afrique Centrale qui réfléchissent et veulent surtout sauvegarder leur biodiversité de ce deuxième poumon de l’humanité, en le préservant contre les appétits gloutons des prédateurs et contre les aléas du changement climatique.  

                   

Voilà des raisons pertinentes à la base de l’organisation de ce grand évènement, premier du genre en Afrique Centrale, piloté par ces deux organisations non gouvernementales : « UNIVERSAL AGENCY Asbl » de la République Démocratique du Congo et « PAMOJA » de la République du Congo, avec l’apport des Etats membres du Bassin du Congo, des partenaires, sponsors et mécènes.

Tout au long de ce grand rendez-vous qui desormais va s’inscrire dans l’histoire de la sous-région, il sera question de promouvoir et revaloriser les ressources naturelles innombrables du Bassin du Congo (essences, biodiversités, eaux, faunes et flores), sans omettre les peuples autochtones, à travers des piliers liés à l’environnement, à la culture, au  tourisme, à la gestion transfrontalière et à la navigation intérieure avec pour buts : « Raffermir la coexistence pacifique entre les peuples de la sous-région ; favoriser l’intégration régionale par la coopération environnementale, culturelle, scientifique, touristique, gestion transfrontalière et navigation intérieure ; concevoir des stratégies concertées pour la conservation et la gestion durable des forêts d’Afrique Centrale ; sensibiliser davantage les peuples de la sous-région, particulièrement les riverains et les peuples autochtones sur la protection de l’écosystème forestier et fluvial ; promouvoir et revaloriser la culture des peuples autochtones de la sous-région par la musique et la danse ». 

Les objectifs poursuivis étant « d’appeler les communautés d’Afrique Centrale à adopter un comportement responsable sur l’écosystème par la formation et la sensibilisation ; renforcer les production, afin d’empêcher la destruction quasi permanente de la biodiversité d’Afrique Centrale ; vulgariser auprès des masses paysannes, la transition écologique dans la capacités des acteurs ou leaders sous régionaux en nouveau mode de vie de sous-région par des colloques, séminaires, forums, scénettes etc. ; rédiger des plaidoyers à présenter aux décideurs politiques, afin de leur permettre d’ajuster les politiques communes sur la conservation et la gestion durable des forêts d’Afrique Centrale ».

« Ramener les communautés de la sous-région Afrique Centrale, particulièrement les décideurs des Etats membres, les riverains ainsi que les peuples autochtones à adopter un comportement responsable afin de protéger davantage et mieux, l’écosystème du Bassin du Congo pour l’intérêt de toute l’humanité », sont les résultats auxquels s’attendent les organisateurs.

BENEFICIAIRES DU PROJET

Le Festival International du Bassin du Congo est un nouveau rendez-vous ouvert aux peuples de la sous-région Afrique Centrale notamment, les personnalités politiques, des collectivités locales, africaines et internationales ; des diplomates, patrons de grandes entreprises, personnalités de la société civile, experts en environnement et en économie verte, médias,  chercheurs, élèves et étudiants, etc.

PILIERS

Le Festival porte sur une série d’activités à la fois culturelles et scientifiques, réparties sur cinq piliers, avec des thèmes diversifiés et bien définis.

Le premier pilier a trait à l’Environnement. Dans ces ateliers, les participants échangeront sur des sous-thèmes tels :  

  • Conservation et gestion durable des Forêts d’Afrique Centrale ;
  • Lutte contre le changement climatique ;
  • Stratégies contre la destruction de la biodiversité du Bassin du Congo ;
  • Préservation des terres de la sous-région contre la dégradation et la désertification

Le deuxième pilier consacré à la Culture, a comme sous-thèmes :   

  • Exposition et présentation des œuvres artistiques (tableaux, peintures, portraits, sculptures, céramiques, BD, livres etc.)
  • Promotion et valorisation des différents peuples autochtones du Bassin du Congo par les chants, la musique et les danses traditionnelles ;
  • Dévoilement du concept architectural du futur musée dénommé : « Museum International de l’Histoire du Bassin du Congo », (MIHBAC) en sigle, et appel à contribution des fonds auprès des Etats membres, en vue de son érection à Kinshasa (RD Congo).

Le troisième pilier concerne le Tourisme. Ici les participants échangeront sur le :  

  • Développement d’une industrie écotouristique dans la sous-région du Bassin du Congo ;
  • Tourisme des masses et accroissement de la biomasse dans la sous-région.

Le quatrième pilier a trait à la Gestion transfrontalière. C’est ici qu’on va aborder les questions sur le :  

  • Partage harmonieux et équitable des eaux du Bassin du Congo.

Enfin, le cinquième pilier concerne la Navigation intérieure :  

  • Le fleuve Congo  et ses affluents : Voies de communication et de création de richesses par la formation permanente et la sensibilisation.

BUDGET DU PROJET

Les contributions financières de dix (10) Etats membres du Bassin du Congo ainsi que des partenaires financiers, avec la contribution spéciale de la République Démocratique du Congo et de la République du Congo pour leur couverture du haut patronage, détermineront le budget du projet en vue de sa réalisation effective.

   CONTACTS

               Commissaire Général « FESTIBAC »

     Eva KANDA ELOMBE

                Local 64, Rez-de-chaussée « Immeuble Botour »

Commune de la Gombe

Ville-Province de Kinshasa

République Démocratique du Congo

Téléphones : + 243 (0) 89 50 844 01 / 81 53 567 19

E-mail : kanda.elombe@gmail.com

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