Malikiah mon Lycée, 1 an déjà !
Malikiah mon Lycée, 1 an déjà !
Crée en 2020 par la Fondation Manik, le « Lycée Malikiah » a totalisé une année d’existence. Sa première année scolaire 2020-2021 aura démarrée par la Section Maternelle. L’établissement scolaire est privé. Il est le premier Lycée Francophone mixte à Kisangani, sinon l’unique de la ville. « Nous sommes une école des parents, créée dans le but de donner à l’enfant une éducation intégrale », indiquent les responsables du Lycée. Les parents étant les premiers et principaux éducateurs de l’enfant, l’école joue ce rôle dans la continuité de cette éducation à travers différentes activités cognitives organisées.
A sa première année scolaire, Section Maternelle, le Lycée a accueilli 29 élèves. Il a fonctionné avec 3 salles des classes : la Petite section, encadrée par madame Wawina Nely Paola ; la Moyenne section, encadrée par madame Lubuya Kalubi Alice ; et la Grande section, tenue par madame Omari Fela Bife. Trois autres éducatrices ont été aux côtés des titulaires et une infirmière. Le Lycée est une brèche ouverte pour concilier la culture congolaise avec la modernité. Il éduque ses élèves à intérioriser dans leur vie la culture africaine et Congolaise. Le Lycée apprend aux filles et garçons à être compétitifs pour bâtir un Congo nouveau, fort, démocratique et prospère ; sans complexe, dans un élan de solidarité et de parité homme-femme souhaitée par tous. « Notre souhait est que les enfants qui y sont formés, partent avec l’idée de relever les défis qui se présentent dans la société en rapport avec leurs options à venir et leurs carrières de prédilection qu’ils auront à développer de nos enseignements », rassurent les responsables du Lycée.
La Fondation Manik, bras séculier du Lycée, croit dur comme fer que la formation dispensée aux enfants est solide car elle apporte et apportera davantage une transformation rapide dans leur vie.
Après sa Section Maternelle en progression, l’école Primaire du Lycée Malikiah, ouvre ses portes aussi bien en progression dès l’année scolaire 2021-2022.
Et « L’école doit être un ascenseur social, une façon de se sortir de la pauvreté », ne cesse de rappeler la Sénatrice-promotrice Madeleine Nikomba.