Genre-formation : Micheline Ombae renforce les capacités des cadres et agents de son ministère pour une bonne prise en charge des questions Genre
Genre-formation : Micheline Ombae renforce les capacités des cadres et agents de son ministère pour une bonne prise en charge des questions Genre
Pour une prise en charge efficace des questions Genre, famille et enfant, les cadres et agents du ministère que pilote Micheline Ombae Kalama, viennent de bénéficier au cours d’un atelier organisé du 22 au 23 décembre finissant, d’un renforcement de leurs capacités sur des thématiques telles “la lutte contre les violences basées sur le genre, la promotion de la masculinité positive, couplées à l’appropriation des instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs aux droits des femmes, des enfants et des familles”.
Présentant cet atelier de renforcement des capacités comme un moment de réarmement intellectuel et moral, destiné à revitaliser leur engagement au service de la dignité humaine, Micheline Ombae, dit avoir trouvé ces thématiques “concrètes et vitales”, qui touchent directement aux réalités quotidiennes des populations.
Si au-delà des textes des lois, la ministre trouve l’importance d’équiper les agents de son ministère, le renforcement des capacités, a-t-elle martelé , n’est pas une option, mais une nécessité stratégique qui appelle les participants à devenir des acteurs du changement et des relais de transformation dans leurs communautés, y compris les communautés les plus reculées.
Parce que l’atelier a été oganisé en partenariat avec l’Ong CUSO International, la ministre Ombae a salué ce soutien constant, dont l’accompagnement technique et financier contribue, a-t-elle affirmé, aux efforts nationaux de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles. Pour lui, “ce partenariat qui est un acte d’engagement collectif en faveur de la justice sociale, de la protection des personnes vulnérables et de la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes, est profondément humain, car il va au-delà de sa simple dimension institutionnelle”, fin des citations.